Un homme en noir dans le couloir
De la peinture sur les vêtements
exprimer ce qu'il ressent
revient à parler à son mur blanc
Le même mouvement
Au rythme entraînant
De son bras qui vat
De haut en bas
Pour ses enfants
un petit pois
Le seul appat
qui le retient là
Le gain du pain
pour tout les siens
et s'imaginer
le ventre plein
Sa pour un homme
qui sert des gens
Ces anges noir
qui se croient blancs.
Je précise que j'ai écrit ce texte parce qu'il y a un homme de couleur noir qui s'occupent de l'entretient des chiottes dans mon lycée et que je trouve sa déguelasse que même en France on donne toujours le sal boulot au étrangers ou au noirs.
C'est vrai quoi, si on regarde bien à Paris
Les gardes de la fnac qui n'ont rien à faire toute la journée et qui se font chier, c'est pas souvent à des blancs qu'on donne ce boulot.